Ce ribes gordonianum , je l’avais découvert dans un livre de Didier Willery et je lui trouvais un charme fou ( oui comme la chanson d’Hoshi , qui est moche, vous voyez ? ) .

Après m’être débarrassée de l’hydrangea annabelle qui vivotait et jeté mon-beau-picea-roi-des-forêts qui n’a pas supporté la canicule, j’avais une place toute trouvée pour l’accueillir. Planté cet automne , ça m’a laissé tout l’hiver pour venir gratter l’écorce un million de fois ( au bas mot ) afin de vérifier qu’il n’était pas mort ; puis trembler quand les fleurs se sont formées et qu’elles étaient roses, juste roses.

Je le trouve vraiment beau, la couleur reste douce et il semble traversé par des rais de lumière, je l’adooooore ( je dirai bien que j’ai flashé sur ce Gordon, mais trois références musicales dans un seul article, ne serait-ce pas trop ? )